29 septembre 2006

The russian man

Dans les steppes bien gelées de la Sibérie
Vladimir Tosk chevauchait vers Saint-Pétersbourg.
Mais il rencontra sur sa route de vils bandits
Qui gênèrent sa quête au servic’ de la cour.

Ils l’abordèrent d’une vulgaire façon
Et plaisantèrent en le traitant de tous les noms.
Le russe cavalier, de la sorte véxé,
Provoqua en duel tous ces gros défroqués.

Il dégaina avec panache son épée
Vassilissa la très puissante, ainsi nommée.
À la vue du métal très vieux et très rouillé,
De s’esclaffer ils ne peuvent s’en empêcher.

L’ire du Sibérien alors se déchaîna,
Et d’un coup d’épée, les bandits il terrassa
Dans une effusion de sang la joute prit fin
Et Vladimir put assouvir enfin sa faim.

Dans un excès de colère et de vengeance,
Notre cavalier se rue sur les pauvres corps
Et dans le seul but de remplir sa bonne panse,
Il engloutit voracement les bandits morts

Igor